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La blanche

Référence : 65665
2 avis
Date de parution : 15 octobre 1998
Auteur : DALENS (Serge)
EAN 13 : 9782909811772
Nb de pages : 224
11.90
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Description
-Alors comme ça, Simon, tu croyais me semer ? Eh bien, manque de pot ! D'accord pour reprendre ta liberté, mais pas avant d'avoir réglé nos comptes. Car tu me dois pas mal d'argent, et comme au jeu, ces dettes-là c'est sacré. Sans compter l'amende pour t'être cassé en douce. A première dose, je t'en fais cadeau. Mais pas les autres. De la coke de toute première qualité, ça vaut cher mon vieux. Alors comment vas-tu me payer ? Je t'écoute...
La blanche, c'est la solitude des jeunes devant la drogue. Ce cri d'alarme de Serge Dalens leur est adressé ainsi qu'à leurs parents. Ce fléau peut s'infiltrer aujourd'hui dans toutes les familles, même la vôtre...  
Serge Dalens. Magistrat et romancier. Fondateur de la célèbre collection Signe de Piste, est l'auteur entre autres, des romans de la mythique saga du Prince Eric. 
Ecrit en 1987, La blanche a vite connu le succès et obtenu en 1988 le Prix des Jeunes Lecteurs de l'Enseignement Public. Ce témoignage toujours d'actualité est sans cesse remis à jour et réimprimé.
TitreLa blanche
Auteur DALENS (Serge)
ÉditeurTRIOMPHE (EDITIONS DU)
Date de parution15 octobre 1998
Nb de pages224
EAN 139782909811772
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)16
Largeur (en mm)128
Hauteur (en mm)200
Poids (en Kg)0.22
Critique du libraire
Roman. Illustrations de Michel Gourlier. [14 ans]
Les avis clients
Rien ne remplave la famille chrétienne .
4/5 Plaisir de Lire .
.----. Un autre désavantage de ce livre, est que le besoin naturel est si envahissant que l'on oublie un peu Dieu auquel la souffrance ramène presque toujours . Il n'est pas absent cependant puisque l'auteur écrit : "Sur les lèvres de la mère de Simon naissent des mots qui la surprennent elle-même : "Peut-être faudrait-il... prier... pour que Dieu nous le rende... (Les parents découvrent que leur fils est drogué et qu'il a maille à partir avec la police) - (page 104). Il y a quelques remarques de ce genre . Pourtant, Vianney, trouve normal d'avoir menti par amitié, et la solution prônée dans les annexes est le soutien par une équipe . Juste, mais ambiguë est la formule ! Si l'on ne peut pratiquer la foi chrétienne et mettre "Dieu par-dessus toutes choses" que dans une équipe, comment expliquer la foi profonde des chrétiens isolés, sans amis, parfois, dans les pays communistes ? Eux, tiennent le coup par la grâce, la prière, avec une totale absence de sacrements . "Sans Moi, vous ne pouvez rien faire", nous dit l'Evangile . Alors ? Très humain, ce livre appelle une sérieuse table ronde, riche de plusieurs thèmes - Comprendre l'importance de Dieu comme fondement individuel de la vie ; - voir le rôle de la contemplation ici remplacée par les évasions malsaines de la drogue ; - Etudier le double aspect du "groupe", vivier d'amis mais qui n'est pas automatiquement formateur de volontés fermes et de caractères courageux ; - Reconnaître la primauté des sacrements pour nourrir les âmes . Conclusion : rien ne remplace la famille chrétienne . [ " Plaisir de Lire " , numéro 79 , Pâques 1988 ]
Sujet typiquement de notre époque !
4/5 Plaisir de Lire .
.----. Simon Verlhaine a tout ce qu'il faut matériellement mais des parents trop occupés qui l'ignorent, et une troupe scoute qui fait une erreur psychologique : on change Simon de patrouille et celle-ci ne marche pas . Il ne s'y fait pas d'ami . N'ayant pas le soutien familial, ni de secours secondaire dans un mouvement de jeunesse, il se laisse entraîner à la drogue . Il s'accroche un moment à des amis sympathiques, puis sombre . De justesse, l'ami Vianney, celui que tendrement il aime et sur lequel il compte le sortira de là . C'est une lecture très intéressante avec des personnages bien campés, une action rapide, un style plein d'aisance . En plus, le sujet est typique de notre époque et raconté de façon convaincante . Plusieurs pages d'annexes prouvent une très sérieuse documentation et donnent des adresses, en cas de nécessité . Appelé "récit", l'histoire expose des faits, ouvre des chemins de réflexion mais n'a pas que des avantages . En effet, Vianney pour sauver son pauvre ami, le drogué, accepte de dire qu'il a passé la nuit sous son toit . Or, Simon, cette nuit-là, a dévalisé une pharmacie à main armée . La police dit qu'il y a mort d'homme . Vrai ou faux ? Vianney veut l'aider dans tous les cas, lui fait confiance et donne aux autorités un faux témoignage . (voir page 115 à 118). <WBR> Simon vient lui dire pour le rassurer : "D'abord je vous remercie, ta mère et toi, pour ce que vous avez fait . Je suis renseigné, vous ne pouvez pas être inquiétés, ce n'est pas un faux témoignage, non, un simple mensonge". (page 119)..( suite ... )