Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Le père Pel missionnaire en Corse

Référence : 90816
2 avis
Date de parution : 7 février 2023
EAN 13 : 9782851622990
Nb de pages : 258
18.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
En stock expédié demain
Voir la disponibilité en magasin

Description
Le père Constant Pel connu par ses prophéties, était un prêtre-missionnaire du diocèse d'Ajaccio. De 1930 à 1950, il alla de village en village porter le "parfum de Jésus". Les Corses le reconnurent vite comme un prêtre admirable, zélé, charitable, discret et un saint miraculeux. Il fonda à Corté la Maison du Christ-Roi et à Ajaccio le Foyer Sacerdotal dont le rayonnement s'étendirent sur toute la France grâce à la revue "La Lampe du Sanctuaire".
Miné par les épreuves, les conséquences de la guerre, il quitta la Corse, mais continua son oeuvre sur le continent. A La Seyne-sur-Mer, il construisit le célèbre sanctuaire de Notre-Dame de Fatima. En contact avec les plus hautes figures sacerdotales et les voyants de son temps, il fut entre autres, le directeur spirituel de Charles de Foucault et de Marthe Robin. Padre Pio disait aux pèlerins français : "Pourquoi venez-vous me voir quand vous avez le père Pel un si grand saint ?" 
France Sampieri est historienne de la Corse, qu'elle fait connaître par ses livres, ses articles, chroniques et émissions radio.
TitreLe père Pel missionnaire en Corse
Auteur SAMPIERI (France)
ÉditeurPARIS CONSEP (EDITIONS DE)
Date de parution7 février 2023
Nb de pages258
EAN 139782851622990
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)20
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)225
Poids (en Kg)0.32
Critique du libraire
Une page parle de l'abbé Gâteau, curé d'Assais. (79 Deux-Sèvres)
Les avis clients
2ème extrait .
5/5 France Sampieri .
.----. Transporté d'urgence à l'hôpital Saint Jacques de Nantes, les médecins se déclarèrent impuissants devant la gravité du cas . Ils s'étonnèrent de voir encore en vie ce vieux prêtre à l'aspect misérable, sans papiers ni bagages, à la soutane élimée et défraichie . Mme Blanquer déclina son identité en aoutant : " C'est un saint ! " Ce qui fit sourire ironiquement le personnel de l'hôpital habitué à une autre image d'ecclésiastique. Ignorant qu'il suffisait d'avertir l'abbé Gâteau, l'administration rechercha où et à qui s'adresser pour avertir de l'état de l'accidenté . Une enveloppe sur laquelle figurait son adresse permit à l'aumônier, l'abbé Chauve de prendre contact avec l'asile des vieillards Saint Jean d'Avignon où il était pensionnaire et ensuite avec l'évêché d'Ajaccio, une religieuse lui ayant dit qu'il était incardiné dans ce diocèse . Dans sa lettre, dénuée de compassion, il traita le Père Pel avec insolence en ces termes : " un clochard de plus à Nantes "! Le but de sa lettre consistait à encaisser les frais d'hospitalisation et de se renseigner sur le lieu de son inhumation, l'état gravissime du Père Pel ne laissant aucun espoir . L'évêque coadjuteur, Mgr Collini ignorait jusqu'à l'existence de ce vieil ecclésiastique . Il s'en lava les mains . Il n'avertit pas Mgr Llosa, malade dans sa maison de retraite d'Erbalonga . Son secrétaire général, le chanoine Zarzelli confirma au chapelain de l'hôpital de Brest que ce prêtre était bien incardiné dans notre diocèse mais qu'il n'avait aucune couverture sociale et qu'il ne fallait attendre de la part du diocèse pas un sous vaillant . Il lui conseilla de s'adresser à l'évêque de Toulon-Fréjus . L'ingratitude de l'Eglise fut jusqu'au bout le lot de Pel ! Il eut une longue et douloureuse agonie de quarante jours . Sa souffrance étancha la soif qu'il avait depuis son enfance de mourir en martyr d'amour pour Jésus ... <BR< Constant Pel rendit sa belle âme à Dieu le 5 mars 1966 à l'âge de 86 ans et demi dans la 65ème année de sacerdoce, entouré de son neveu et de quelques amis dont le docteur Crouzi et l'abbé Gâteau accourus à son chevet...Il fut provisoirement inhumé à Assais le mardi 8 mars 1966 . En prononçant son éloge funèbre, l'abbé Gâteau fidèle à sa promesse, révéla le secret de l'échange de son cœur avec celui de Jésus ...Le 15 mai 1968, ses restes furent transportés au cimetière de Lantenay, sa ville natale, pour être inhumés dans le tombeau familial .
Extrait du livre :
5/5 France Sampieri
Notre librairie de Chiré est très proche de la Fraternité de la Transfiguration de Mérigny (indre) qui a aussi pris la succession morale de l'abbé Gâteau à Assais . C'est pour cela que nous publions l'extrait ci-dessous : .----. La mort du Père Pel . Au matin du 20 janvier 1966, le Père, alors dans sa 87ème année, revenait à pieds sur une route enneigée et verglacée du village d'Assais les Jumeaux . Il venait de célébrer la messe dans une chapelle éloignée du côté de Parthenay dans les Deux Sèvres, diocèse de Poitiers . Le curé, l'abbé Gâteau, son ex-élève, l'invitait à séjourner chez lui . Dix ans auparavant, le Père avait écrit à Mère Marie-Jeanne à propos de ce prêtre ami : " Je l'ai guidé vers le sacerdoce et depuis, il n'a pas cessé de vouloir venir me voir et de m'inviter à venir chez lui ". Ce jour-là une automobiliste, Mme Blanquer, sa dirigée qui s'occupait de l'orphelinat, le vit et s'arrêta . Elle insista pour l'emmener dans sa voiture . Il déclina l'offre, puis finit par l'accepter . A peine était-il monté que la voiture dérapa sur une plaque de verglas et heurta un pilier . Pel, lancé contre le pare-brise eut la force de dire : " Ce n'est rien " en se touchant le front avant d'entrer dans le coma. ( suite ... )